Une journée habituelle pour Jolyon. Tu devrais retrouver une très bonne amie, qui était bien évidemment  beaucoup plus pour toi. Mais au fond, ce n’était pas évident. Tu avais vraiment peur que ce ne soit pas réciproque, puis par fierté, tu préférais rester un bon ami pour cette dernière. Alors qu’au fond de toi, tu aimerais tellement être plus. Pas évident comme situation. Mais tu faisais avec. Puis avec ton métier avec une copine, ce n’était pas aussi simple. Elle pouvait te faire des crises de jalousie. Mais surtout ne pas comprendre sa passion. Et elle semblait si différente de toi. Au loin, tu l’as vis arrivé. Un grand sourire sur tes lèvres, avant de la serrer contre toi. Salut, ma belle. avec un long sourire qui en disait long Jounet. Ce genre de surnom que tu détestais, mais vraiment. Puis, elle te tira la langue comme d’habitude. Connaissant ta réaction. Tu soupirais quelque peu. Ta seule journée de repos, tu l’as passais avec elle. Comme d’habitude. C’était une journée parfaite.

J’en ai marre Jo’ Tu ne comprenais pas pourquoi elle te disait cela. Tu devrais certainement aveugle. Carrément aveugle mon pauvre petit. Marre de ? disais-tu sans vraiment comprendre. Elle semblait si bizarre. Surtout depuis qu’elle avait compris que ton métier était important, plus important qu’elle. De passer en deuxième. De ne pas pouvoir comprendre si tu tiens réellement à moi. J’en ai marre ! Tu soupirais. Et c’était parti. Elle n’avait rien mieux que de te prendre la tête. Tu étais fatigué. Tu ne voulais pas te disputer surtout pas après cette journée que tu avais passée. Entrainement intense. Fatigue extrême. Tu sais très bien que tu es importante pour moi ! disais-tu en te rapprochant d’elle. Lui caressant la joue délicatement. Elle était si belle. Si parfaite en cet instant. Je.. Elle te sauta dessus pour t’embrasser. Sans vraiment que tu t’y attendes. Tu prolongeais ce baiser. Le cœur qui battait à une vitesse inimaginable. C’était parfait. Chut. Avant de l’embrasser à nouveau. Tu n’étais pas douer pour avouer tes sentiments. Mais en cet instant, elle devrait comprendre que tu étais fou amoureux d’elle. Et elle le comprit. Vous étiez officiellement ensemble. Pour le meilleur comme pour le pire, mais surtout pour le pire.

C’est à cette heure que tu rentres, tu te fou de moi Jo’ ! Tu venais tout juste de franchir, la porte d’entrée. Qu’elle t’agressait déjà. Qu’est-ce qu’elle avait encore ? Soupirant quelque peu. Elle te faisait de ces crises de jalousie, depuis que tu avais comme équipier Ella, une belle rouquine. Ce n’était simple que de l’amitié pure et vraie. Entre une fille et un garçon. Pourtant, elle ne te croyait jamais quand tu lui disais ce genre de chose. Tu ne vas pas me prendre encore la tête Donna ! disais-tu en la fusillant du regard. Tout en allant dans la cuisine, te prendre une bière. Tu l’avais bien mérité après la journée que tu avais passée. Sauf que cette fois, ta petite amie avait décidé autrement. Elle te prit la bouteille des mains. Elle te lançait un regard des plus noir avant de me dire Ose me dire qu’il ne se  passe rien entre cette fille et toi ? Et c’est reparti. T’en avais vraiment marre. Tellement que par moment. Sous ton impulsivité. Tu lui disais des choses totalement fausses. Mais combien de fois que je vais te répéter qu’il ne se passe rien de plus entre elle et moi. Ce n’est qu’une amie. Une très bonne amie. On partage juste la même passion. Rien de plus merde ! Tu commençais réellement à t’énerver. Tu pouvais être patient. Mais il y avait certaine limite où tu ne pouvais plus te contrôler. Surtout le fait que ta petite amie, dont tu étais fou amoureux, doutait de toi. Je ne te crois pas. Je ne peux pas te croire. Je ne peux pas la voir. Elle est deux fois plus belle que moi. Tu peux comprendre ça que j’ai peur de te perdre. Pour ne pas t’énerver d’avantage. Tu préférais mettre court à cette conversation Ecoute-moi. Lorsque tu te seras calmé, on pourra discuter calmement. Mais en cet instant, je préfère m’en aller avant de dire des choses qui puissent te blesser. Tu pris juste ta veste. Et claquais la porte. T’en pouvait plus de cette situation. Tu l’aimais, mais c’est crise te rendait fou. Et tu savais qu’un jour ou l’autre, votre histoire pourrait en partir. Et elle pourrait vraiment te perdre et cette fois si pour de bon.  

Il était tard. Tu venais tout juste de sortir du circuit. Téléphone en main avec ta petite amie qui te soulait une fois de plus concernant Ella. T’en avait tellement marre, que tu lui avais raccroché au nez. Tout en rangeant ton téléphone dans ta poche de jean. Lorsqu’au loin. Tu vis une agression. Mais pas n’importe laquelle. Celle qui te fit réagir en même pas deux secondes. C’était Ella. Avec un pilote qui semblait avoir trop bu. Cette putain de con était en train de l’agresser. Ton sang ne fit qu’un tour. Tu te jetas sur Dean. Toute ta colère se concentrait sur ce dernier. Tu détestais les mecs qui usaient de leur pouvoir pour faire n’importe quoi. Mais surtout oser agresser ton amie. Même si c’était une mauvaise idée de réagir par la violence. Ton impulsivité comme d’habitude. Les commissaires viennent vous séparer. Tu n’aurais qu’un avertissement pour cette fois. Mais voyant ton amie dans cet état. Te faisait tellement mal au cœur. Elle semblait si fragile en cet instant. Tu te dis que pour une fois, c’était bien que je quitte après elle. Tu avais pu la sauvé d’une telle agression qui allait la marqué à vie. Tu lui donnas ta veste. Pour recouvrir ces vêtements déchirés, mais surtout pour ne pas qu’elle prenne froid. Tu l’as pris ensuite dans tes bras. Elle pleurait, tu caressais son dos, essayant de la calmer, même si tu n’étais pas réellement douer pour ce genre de chose. Et une fois qu’elle fut calmée, tu te détachas d’elle. Mais ce qui se passa par la suite fut complétement déconcertant. Elle venait de t’embrasser. Chose insensé n’est-ce pas ? Lorsqu’elle se détacha de toi. Tu ne sais pas ce qu’il te prit. Tu l’as pris par le bras pour l’embrasser de nouveau. Tu venais de tromper ta petite-amie. Et pourtant. Tu savais qu’au fond, c’était une erreur. Lorsque que vous vous détachiez. Un simple regard pouvait faire comprendre que c’était une erreur et qu’il ne fallait plus en parler. Votre amitié était plus forte que tout, non ? Puis tu étais en couple. Complétement perdu. Tu étais rentré chez toi. Sans un mot à Donna. Tu étais parti te coucher. Repensant à ce baiser. Et te rendant compte que peut-être elle t’atttirait bien plus que tu l’aurais pensé.