SUZY LUX HIGGINS
L’oublier c’était comme essayer de te rappeler une personne que tu n’as jamais rencontré.
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- nom : Higgins - prénom : Suzy étant le prénom que mes parents ont choisis à ma naissance, mais voulant croyant à un garçon, ils m’ont donné en 2ème prénom lux, prénom pas forcément beau. - âge : vingt-trois ans - lieu de naissance : ici-même à Forks nationalité : - américaine origines : - anglaise - statut civil : célibataire - occupation(s) : tu aimerais tellement devenir styliste, crée ta propre ligne de vêtement puis ouvrir ton magasin, pour l’instant tu n’es qu’une simple vendeuse dans un magasin de vêtement. - traits de caractère : Cultivée, chanceuse, joueuse, têtue, intelligente, méthodique, excessive, cachotière, indécise, rancunière, rusée, impulsive, vigilante, jalouse, autoritaire, obstinée. - groupe : Hope in the air.

♢ there is an orchestra in me.
+ Elle fait du piano depuis qu’elle est toute petite. + Elle a toujours vécue à Forks et adore sa vile natale. + Son père est un neurochirurgien réputé et donne des cours aux internes. + Son père a toujours voulu qu’elle poursuive des études dans la médecine, et est-en froid avec sa fille ne voulant pas suivre ses pas. + Elle a toujours eu tout ce qu’elle voulait, ayant une famille aisée. + Elle est surprotégée par son plus grand frère et en abuse. + Elle dort toujours avec une peluche qu’elle a depuis toute petite. + Elle adore les animaux et en particulier les chevaux. + Elle fait de l’équitation depuis quelques années maintenant. + Elle essaye tant bien que mal de tenir ces promesses, malgré que par moment, cela n’est pas aussi simple. + Elle est une très bonne menteuse, mais elle n’aime pas tellement mentir, donc elle le fait que quand cela est nécessaire. + C’est une fille assez gourmande, qui aime se goinfrer de chose sucré, sans jamais prendre un kilo en trop, vu qu’elle court tous les jours pour ne pas grossir. + Elle se mord la lèvre quand elle a envie d’embrasser quelqu’un. + il faut apprendre à la connaitre pour comprendre que c’est une fille qui a un cœur en or, malgré sa carapace de peste. + Capricieuse, elle a enchaînée les relations et les expériences depuis le lycée + Elle aimerait que son père l’accepte comme elle soit + Elle n’a pas sa langue dans sa poche, quand elle a quelque chose à dire, elle le dit, malgré que cela puisse être très blessant, elle s’en moque. Elle ne veut pas être hypocrite, elle déteste les gens qui le sont. + Elle est passionnée par la mode et aimerait pouvoir ouvrir sa propre boutique de fringue. + Elle confectionne à la perfection de simple tenue, à des tenues beaucoup plus prestigieuses, elle a le don pour cela. + Elle est très douée en dessin ainsi qu’en cuisine, malgré qu’elle déteste se l’avouer. + Elle aimerait un jour réussir à être dépendante, et se débrouiller toute seule. + Elle a toujours eu envie de vivre une vie de couple et avoir des enfants.

- pseudo/prénom : save heart/ophélie - âge : dix-neuf ans - fréquence de connexion : le plus souvent possible - commentaires/avis : très beau forum

♢ i got a ticket to nowhere.

Ton stylo se pose sur cette feuille de papier, tu te demandais si c’était une bonne idée. Tu n’avais jamais fait cela, jusqu’à présent. Tu aurais tant espérer un simple signe, mais ton cœur t’obligeait d’écrire ce que tu ressentais après tant d’année. Tu avais besoin de leur expliquer tes choix, tu n’en étais pas capable face à eux, alors la seule façon que tu pouvais le faire, c’était cette feuille, qui n’attendait juste tes mots, ce que tu ressentais en toi, à ce moment précis. Puis, sans te rendre compte, tu t’étais mis à dévoiler tout ce qui te passait par la tête. Des choses dont tes parents ne pouvaient tant pas comprendre.
Vous vous demandez certainement la raison dont vous tenez cette lettre dans vos mains. J’ai longuement hésité à l’écrire, mais à présent, il n’est plus possible de reculer. Beaucoup de personne ne comprenne pas mes choix, surtout toi père. Tu voulais que je devienne médecin, mais j’en avais pas la force, ce n’était pas une passion comme tu le disais. Je n’étais pas celle que tu voulais, je t’ai toujours autant déçu malgré toutes ces années. Mais tu ne m’a jamais demandé ce que je voulais être. Tu étais déterminé à que je sois, comme toi, mais à ton avis, est-ce que j’ai été heureuse d’avoir des parents qui n’étaient même pas fière de toi, parce que tu avais décidé de changer de voix. La mode n’était pas faite pour moi, mais tu t’étais trompé et j’espère que tu te rendras compte, un jour ou l’autre.
Mais en la relisant, tu te trouvais peut-être un peu trop dur, mais il devait savoir ce que tu ressentais. Les mots avaient du mal à sortir, mais tu avais besoin de t’affirmer comme tu étais. Puis, si tu étais devenue si hautaine, si franche, c’était à cause d’eux. Même s’il pourrait t’en vouloir pour cette lettre, tu t’en foutais, tu avais cette envie, d’être enfin libre. Tu étais la dernière fille de la famille, la plus petite, mais celle qui leur causait tant de soucis. Même à présent, tu t’en rendais compte que tu n’avais pas grandis. Tu étais toujours autant indécise, mais surtout impulsive. Tu agissais sans pensées aux conséquences. Comme la dernière fois au commissariat, tu avais tellement mal parlé à l’agent, que cela aurait pu être pire, mais la chance t’avait souris, à cette pensée, ton mince sourire apparu. Il fallait que tu te reprennes en question, mais pour cela, fallait que tu évacue tout ce que tu avais gardé dans ton corps depuis tant d’années.
Puis, vous vous demandez certainement pourquoi depuis tant d’années, je vous crée que des problèmes. Réfléchissez un peu ? vivre dans une famille lorsque tes parents ne sont presque jamais présents. Cela n’excuse pas tout, mais j’avais besoin de vous faire comprendre que si je suis comme cela à présent, c’était à cause de vous et seulement vous. Vous m’avez rien appris, je suis toujours cette fille qui peut tout avoir en un claquement de doigt, mais croyez-vous que c’est nécessaire de faire ça ?
Puis, tu te rendais compte que cela ne servait strictement à rien d’écrire cette fichue lettre. Tu posas ton stylo, te levant de ta chaise. Te dirigeant vers ta fenêtre, regardant au lieu, tout en pensant à une chose qui était certaine, tu avais décidé de prendre ta vie en main, mais tu aurais besoin d’aide, puis plus les minutes passèrent, plus tu repensais à ce policier, il avait était tant gentil avec toi, tu espérais le revoir, pour le remercier, puis peut-être qui sait, faire connaissance avec lui. Et c’est à ce moment que le sommeil de gagne, tu décidais d’aller te coucher, chaque jour et différent et tu espérais que celui-là, soit excellent.