I rarely get recognised. It's always a shock when someone notices me. I always think they must be confusing me with someone else.

L'espoir est la seule chose plus puissante que la peur. Si un peu d'espoir est bénéfique, trop d'espoir est dangereux. Une lueur c'est parfait, t'en quelle est contrôlée. ► Feuille d’audition à la main. Ton regard qui valsait sur les nombreux candidats pour ce rôle. Ta mère qui était au téléphone. Qui ne prêtait aucune attention à toi. Dans ton coin. Espérant pouvoir apprendre, ces quelques lignes. Tu portais le numéro 89. Stressée à mort. Pour un enfant de dix ans. C’était vraiment approprié. Respirant fortement. L’angoisse était là. Tu l’as ressentais. Comment pouvais-tu être calme, alors que personne ne te rassurait. Tu voyais tout le monde avec leur parent proche. Ta mère préférait son téléphone à toi. Le numéro 89, Madison Ginn. Le début de la fin, te disais-tu. Tu te précipitais envers la femme qui venait de t’appeler. Rentrant dans une pièce froide. Trois personnes assises. Qui te regardait bizarrement. Tu ne savais pas réellement comment agir. On ne t’avait pas entrainé à ça. Bonjour. disais-tu. Avant de commencer à perdre tout tes moyens. Tu étais complètement paralysé sur place. Tu pris le script qu’il venait de te tendre. Jouer une scène d’un enfant heureux. Simple en apparence, mais qu’en ai-t-il en vraie ? Mamaaaaaan, j’ai gagné le premier prix. Tu te reeeeeeeeeends compte ! Tu n’étais pas du tout crédible. L’horreur. Tu baissais la tête, lorsque tu entendis Au suivant ! Tu sortie de la salle, les larmes aux yeux. Tu avais foirée. Comment pouvais-tu l’annoncer à ta mère. C’était impossible, n’est-ce pas ? Ta mère qui venait de raccrocher. Te regardait d’un air mauvais. J’en étais sûr, tu n’es même pas capable de jouer la comédie. Elle allait continuer à parler. Malheureusement, une voix se fit entendre dans ce grand théâtre. Merci à vous, d’avoir participer pour l’audition. Le jury a décidé de donner sa décision aujourd’hui même. Alors, j’ai l’honneur et le privilège d’annoncer que mademoiselle Ginn Madison est reçue pour le rôle de la petite Abby. Tu n’en croyais pas tes oreilles. Tu sautais presque de joie. Alors que tout le monde applaudissait. Ta mère eu un grand sourire aux lèvres. Tu allais devenir actrice, ton rêve, enfin le rêve de ta mère surtout.

La vie c'est comme une boîte de chocolat tu sais jamais sur quoi tu vas tomber. ► Tu avais enchainé les petits rôles sans vraiment obtenir ‘the rôles’ pour prouver tes talents d’actrices. Tu perdais patience. T’en avais marre de passer toujours après les autres. Comment cela pouvait être possible. Tu avais tout pour percer dans le cinéma. Tu étais jeune, talentueuse. Et tu étais surtout belle. Tu ne t’étais refait ni le nez, ni les seins. Tu étais resté naturelle. Qu’importe ce qu’on disait. Tu ne voulais pas changer. Cela te dérangeait pas de changer de couleur de cheveux. Tu le disais haut et fort. Fallait faire des sacrifices. Comme tout le monde. Malheureusement, rien ne te réussissait. Tu avais passé une audition pour être la nouvelle héroïne d’une série américaine réputé pour les ados. Le titre n’était qu’autre que ‘Heartless’. Le script t’avait directement emballé. Jouer une jeune femme qui n’a jamais réellement eu de chance dans sa vie. Jusqu’à rencontrer ce patron qui allait tout basculer. Malheureusement. Beaucoup de prétendante. Et peu de place. Impossible d’avoir le rôle de Barbara. Mais qui sait. Avec le temps, tu aurais un rôle de la sorte. Et y a eu ce fameux coup de téléphone.

- Allo ?
- Oui, bonjour. Pourrais-je parler à ma demoiselle Ginn Madison ?
- C’est moi-même.
- Ici Los-Angeles, production Shine. Vous aviez auditionné pour le rôle principal pour la série ‘Heartless’ ?
- Oui, j’ai bel et bien auditionné.
- Je vous annonce en direct, que vous aviez été prise pour le rôle principal, celui de Barbara Olwald.
- Oh mon dieuuuuuuuuuuuu. J’y crois pas ! Merci, merci, merci.
- Toutefois, vous deviez venir au plus vite sur Los Angeles pour démarrer les entraînements. Aviez-vous un agent ?
- Oh pas de problème, je serais là, d’ici demain. Oui, j’ai un agent, c’est mon frère.
- Parfait, je vous dis à bientôt mademoiselle.
Tu avais sauté de joie suite à cette nouvelle. Une nouvelle vie. Un nouveau départ. Tu allais enfin pouvoir être cette actrice tant voulu. Vivre dans ce monde si impitoyable. Tu étais désormais prête à vivre de nouvelle aventure. Tu avais donc quitté Philadelphie pour venir habiter à Los Angeles.

L'amitié ne se réclame pas, elle s'offre. ► Quelques jours de vacances, tu avais décidé d’aller rendre visite à ta seule vraie amie. Elle se prénommait Eléonore. Une fille vraie simple, adorable, mais aussi folle que toi. Tu voulais lui faire une surprise. Tu avais pris le premier vol pour la France. Rare sont les fois où tu avais du temps libre, alors tu en profitais à chaque fois, pour rendre visite à ta famille ou en l’occurrence ici-même ta rouquette préféré. Malgré que tu étais assez connu dans cette ville. Tu voulais passer inaperçu. Premièrement parce que c’était une surprise, personne ne devrait savoir que tu avais pris l’avion. Et deuxièmement, tu aimais te faire discrète. Sans vraiment savoir comment faire. Vu la montée médiatique en ce moment même pour ta carrière. Trop de pression, tu avais besoin de relâché prise. L’arrivée à ton hôtel. Le temps juste de te changer. Mettre une tenue plus confortable. Pour enfin partir discrètement chez cette dernière. Elle aura une surprise de taille. Sachant que tu étais en plein tournage de la deuxième saison. Mais avec la pause hivernale. C’était évidemment la France que tu avais décidé pour quelque jour. Arriver devant chez elle. Sonnant à la porte. Attendant juste qu’elle t’ouvre. Assez pressée de la voir. Surpriiiiiiiiiise ! disais-tu, alors qu’elle venait tout juste d’ouvrir la porte. Un grand sourire sur tes lèvres. Elle ne tarda pas à te sauter dans les bras. Une véritable amitié. Je suis trooooooop contente de te voir. Puis enfin vous aviez fini l’après-midi à vous raconter tout et n’importe quoi. Et dire que cette amitié avait commencé, il y a moins d’un an. Tu te rappelles surtout de votre surnom : Madsel.

- flash-back -

Journée de tournage ordinaire. Comme à ton habitude, lorsque tu ne tournais pas des scènes, tu vaguais à tes occupations en se promenant sur le tableau. Assez fatigué de tenir un rythme effréné. Une demoiselle porta ton attention. Cette petite rousse tout mignonne qui était certainement la copine d’un de tes amis acteurs. Etant assez sociable de nature. Tu venais d’engager la conversation Pas trop dur à regarder? Pas facile de sortir avec un acteur hein? Disais-tu en regardant la scène qui tourner en ce moment même. Malgré que ce fût de la comédie, ce n’était pas toujours évident. Tu le savais. Tu en avais fait les frais. Nan, à la fin de la journée c'est moi qui l'ai c'est que du cinéma, enfin de la télé, enfin vous me comprenez... disait-elle, mais tu venais de la couper en disant Tutoie-moi, je t'en prie. avant de s’assoir à ces côtés et de parler de tout et de rien. Un début d’amitié aussi ordinaire qu’exceptionnelle. Vous allez devenir inséparable, pour le meilleur comme pour le pire. Malgré la distance, ce fut elle, la seule que tu peux avoir confiance.

If people don't like me for whatever i do, for being me, then that's too bad. I don't want to change to be something that i'm not for other people to like me.

On fait tous des erreurs. Elles nous déstabilisent mais nous font avancer. Il faut remonter quand on tombe, alors pas d'inquiétude, l'erreur ne peut que être salutaire. ► Dans ton lit, soufflant. Ce mal de tête atroce. Encore une soirée qui avait fini de la même manière : alcool à gogo, conquête, pour enfin rentrer sans personne. Paparazzi à l’horizon qui avait profité de l’occasion de te photographier. Nouveau scandale. Tu n’étais même plus étonné. Etre actrice ce n’était pas un métier facile. Oh que non. Tu regrettais presque par moment ta vie d’avant. Tu ne pouvais plus rien faire sans qu’on te juge, sans qu’on t’oblige à faire quelque chose. En parlant de ça. Ton téléphone venait de vibrer. Un message de ton manager (son frère qui est très protecteur) qui disait : Mads, il faut qu’on parle sérieusement. Passe au studio dans la journée. C’est un ordre ! Tu soupirais quelque peu. Et c’était partie. Ne voulant pas le faire attendre plus. Tu sautais de ton lit. Direction ta magnifique salle de bain, pour te préparer. Comme à ton habitude. Tu optais pour une tenue simple. Ni maquillage, ni rien. Lunette de soleil. Et direction la horde de paparazzi. Comme à ton habitude, les flashs t’aveuglaient. Baissant la tête, tout en allant vers la voiture noir qui été garé à quelque pas de ta maison. On t’ouvrit rapidement la portière, avant de t’y engouffre. Tu retirais ensuite tes lunettes. Reposant tes yeux quelques instants en les fermant. Alors que les paysages changèrent. Tu arrivais devant le studio. Vérifiant si les champs étaient libres. Quand ce fut le cas. Tu sortie de la voiture, presque en courant. Premier étage, ascenseur. Ton frère t’accueillait à la sortie avec son grand sourire. Il te serra dans ses bras. Avant de t’escorter vers une grande pièce. Où se trouvait tes producteurs, une personne que tu ne connais pas réellement, il devrait être un chanteur ou un acteur. Tu t’installas sur une chaise. Ne comprenant pas réellement ce qu’il te voulait. Tu attendais juste, que quelqu’un daigne t’expliquer ce qu’il se passe. Madison, cela ne peut plus continuer. affirmais, ton producteur. Assez surprise, mais surtout ne comprenant pas réellement la raison du pourquoi. Ton manager continuait à t’annonçant Ta popularité baisse de plus en plus et ce n’est pas en t’affichant avec un mec chaque soir que cela va t’aider. Non, mais tu n’y croyais pas là. Tu ne faisais rien de mal. T’emmener presque jamais quelqu’un chez toi. Bon d’accord, tu avais une attitude d’immature. Non, mais.. On te laissait même pas te justifier que cette fois-ci, il était ferme en te disant Donc, c’est pour cela que nous avons décidé pour faire remonter l’audience de la série, et ainsi ta popularité que tu sois avec l'acteur en vogue, c’est-à-dire Aiden. en le désignant. Il avait un regard assez charmeur, mais il semblait surtout assez mal à l’aise. Tu soupirais. Te levant presque précipitamment. J’ai besoin d’être seule. Sans laisser qu’ils te rattrapent. Tu avais claqué la porte et tu t’étais diriger dans les toilettes. La vie était vraiment injuste.

En sortant de la salle assez énervé. Tu ne t’attendais pas à ce que la personne en question, c’est-à-dire Aiden, te suit jusqu’au toilette. Chose aberrante, n’est-ce pas ? Madison, je sais qu’on se connait pas, mais écoute-moi s’il te plait. disait-il en faisant une courte pause avant de continuer Je sais que tu n’adhère mais vraiment pas leur décision, mais c’est pour ton bien. T’aime ce métier plus que tout j’imagine, comme j'aime le mien. Alors pense juste à tous tes fans qui rêvent de te voir briller encore et pour longtemps, fait ça juste pour eux, ni pour ton manager, ni pour le producteur, juste pour toi et tes fans. Tu étais assez surprise de ce qu’il venait de te dire, mais il avait totalement raison. Il avait trouvé les bons mots. Tu sortis enfin des toilettes, un petit sourire sur tes lèvres en disant Une seule condition : qu’on soit assez discrèt comme couple et je déteste les surnoms trop gnangnan, donc Il accepta en te tendant la main. Tu l’as pris après quelque hésitation. Puis vous étiez dirigé vers cette pièce, en signant votre accord. Tu étais officiellement en couple avec lui, mais au fond, tu devrais jouer l’amoureuse transit. Sauf qu’il fallait faire comme toute vraie histoire, faux rendez-vous, faux baiser, tout était faux. Du moins en partie, parce qu’il allait être un ami en or.

C'est tellement plus simple de prétendre que tout va bien. ► Mads, tu m’en veux ? avec sa petite moue qui pouvait faire tomber plus d’une fille. Mais pas avec toi. Non, pas avec toi. Il était la personne la plus importante pour toi, mais il agissait comme le pire des cons en ce moment. Te forçant à jouer la comédie pour ton faux-couple. Ce n’était pas que Aiden te déplaisait. Il était un magnifique jeune homme, adorable et attachant sous ses airs de bad boy et mystérieux. Mais quand même. Tu te sentais mal de mentir à tout le monde sans aucun remord. Et il ne pouvait pas le comprendre. Il ne voulait pas le comprendre. Parce que pour lui, ta carrière était plus importante que toi-même. Sympa, n’est-ce pas. Cela ne marche pas avec moi, surtout ce regard Eden. disais-tu en te levant. Faisant les cents pas. T’en avait tellement marre. Tu avais besoin de ton frère. De ton vrai frère. Pas celui qui semblait lui ressembler. Mia, je sais que tu m’en veux, mais c’est entièrement de ta faute. Si tu n’avais pas agis en égoïste, on en sera pas là. Cette phrase te faisait mal. Enormément mal. Baissant la tête. Alors en fait, tout était de ta faute. Gentil, le frère. Egoïste ? Tu te fous de moi ? Tu n’as même pas voulu comprendre pourquoi j’agissais de cette manière. Tu préférais te violer la face que de comprendre que ta sœur n’allait pas bien. Bien évidemment, tu ne lui disais pas. A cet instant, tu avais juste envie qu’il sorte de chez toi. ne plus voir personne. A quoi servait de discuter avec quelqu’un qui te prend responsable de tout. Entre ta mère qui s’en foutait de toi. Un père absent et maintenant un frère qui semblait plus porter ta réputation que toi. En gros, tu n’avais vraiment jamais eu une personne sur qui tu pouvais compter. Sors de chez moi ! Disais-tu en criant. Première fois de ta vie que tu parlais de la sorte avec ton frère. Il comprit à cet instant, qu’il était partie trop loin. Mais c’était trop tard. Il avait dit la chose à ne pas dire. Tu étais loin d’être égoïste. Tu faisais toujours passé ta famille avant tout le reste. Avant ton propre bonheur. Comme d’habitude. Il soupira quelque peu avant de dire Comme tu veux. soufflant un simple désolé. Et il claqua la porte. Tu t’écroulais à terre. Aucune larme ne pouvait sortir. Tout aurait été simple si vous vous entendiez comme avant.

Quelques jours plus tard. Tu te retrouvais lors d’une promo, t’affichant au bras de Aiden. Presque amoureuse. Parce que votre relation venait à peine d’être affichée dans le monde entier. Assez discrète tu ne voulais pas que ça parait louche si tu agissais autrement. Un simple baiser sur la joue. Quelque murmure au coin de ses oreilles. Un rire qui s’échappa de tes lèvres. Aucun dérapement. Vous étiez le parfait couple hollywoodien. Un dernier regard, lorsque tu aperçus ton frère. Qui te fixait. Vous vous n’étiez pas parler depuis la dernière fois. Presque que personne n’était au courant de votre dispute. Eléonore l’avait su à la minute qu’il était parti. Tu avais eu besoin de ta meilleure amie. Elle t’avait soutenu comme à son habitude. Puis Aiden avait remarqué que tu n’allais pas bien, donc il était  venu passer la nuit chez toi en parfait ami. Maintenant, il te murmura d’aller le voir, pour régler votre histoire. Tu hochais juste la tête. Posant un baiser au coin de ses lèvres. Et tu t’engouffrais dans le cinéma, passant devant ton frère, lui faisant comprendre qu’il faut que vous parliez. Il accepta. Direction un endroit assez calme. Tu fixais un point indéfini. Lorsqu’il prit la parole en disant Je suis désolé Madison, je n’aurais pas dû te parler de la sorte. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris. Je t’en voulais d’avoir détruit tout ce que tu étais fière, mais je n’ai pas cherché à savoir ce qu’il allait ou pas. Un rire ironique sortie de tes lèvres. Il croyait qu’il allait t’avoir de la sorte. Il t’en faudrait plus que des excuses. Il était peut-être ton frère, mais il t’avait blessé. Tu crois vraiment que des excuses vont me suffire Eden ? disais-tu en te coupant quelque peu. J’avais besoin de mon frère, pas de mon manager. La personne qui me protège quand tout va mal, qui me rebooste, mais pas quelqu’un qui me reproche des choses dont tu sais très bien la raison du pourquoi, j’ai agis de cette manière. Tu avais dit tout ce que tu pensais, mais il te manquait. Tu avais besoin de lui. Il était ton repère. Ton fameux frère. L’homme idéal par certaine personne. Je sais que j’ai agis comme le pire des crétins. Pardonne-moi Mads. Baissant la tête quelque instant. Alors que tu vis qu’il avait ouvert ces bras en signe de paix. Tu ne pouvais plus lui en vouloir. Tu te blottissais dans ces bras. Tu avais enfin retrouvé ton frère. Celui qui t’avait tant manqué. Tout ça grâce à Aiden et Eléonore. Comme quoi, tu avais  des proches en or.

Ils n'avaient rien de fantastiques, ils n'étaient pas magnifiques. Mais ils y avaient comme une sorte de fusion entre eux, qui dégageaient de leurs relations, une sensation inexplicable que n'importe qui pouvait envier. ► Le fameux couple ‘Maden’ a été aperçu plus qu’amoureux que jamais lors d’une balade, suivi d’un dîner romantique. Madison et Aiden ont l’air d’être toujours aussi complice, malgré les rumeurs concernant une possible rupture, suite à un dérapage de ce dernier. Il ne faut jamais donc nier le fait, qu’ils sont faits l’un pour l’autre ou pas.

Cet article qui te faisait sourire. Il était vrai que vous vous voyez presque plus, à cause de tournage, d’emploi du temps assez chargé. Votre couple qui était bien évidemment faux, ne pouvait tenir malgré la distance. Toutefois, vous aviez bien prévu de marquer le coup en vous retrouvant plus qu’amoureux que jamais. À force de jouer, tu te demandais si tu n’allais pas te prendre à ton propre jeu. Il avait tout pour être le copain idéal. Mais tu n’étais pas vraiment prête à t’engager. Ta carrière te prenait trop de temps pour concilier vie privée, vie professionnelle. Malgré que cela avait l’air de plus tôt bien marcher pour les yeux du monde entier. Il ne faut toujours se méfier des apparences. Qu’est-ce que tu regardes de beau ? En t’embrassant dans le cou. Qui te fit frissonnée quelque instant. Il était le seul à pouvoir te faire réagir ainsi aux simples contacts de ses lèvres. Un petit sourire aux lèvres, avant de lui répondre Un article nous concernant. en lui montrant la page. Vous étiez main dans la main. C’est vrai qu’à cet instant, vous semblez si amoureux, si heureux. Foutaise. Ils sont convaincus j’espère ? disait-il en te faisant une moue. Quelque minute de réflexion. En fait, est-ce que vous étiez vraiment convainquant ? C’était la question que tu te posais à chaque fois. Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. avant de te lever de ta chaise. Le contournait quelque instant. Ce n’était pas évident ce genre de situation. Vous étiez juste assez tactile en dehors. Alors qu’à cet instant, vous aviez cette proximité qui te gênait. Peut-être parce que tu avais peur qu’il en profite pour se rapprocher de toi. Tu ne voyais pas ces regards par moment qu’il te portait, mais si tu l’aurais vu. Tu comprendrais que pour lui, ce n’était pas qu’un jeu. Qu’il voulait en profiter à chaque fois. Sachant que vous vous embrassiez rarement. T’en a pas marre par moment de jouer la comédie ? disais-tu en soufflant. Avant de t’assoir sur ton canapé. Ce n’était pas que tu en avais marre, mais tu avais peur de te brûler. Vraiment te brûler et à y perdre tout. Comment ça ? disait-il en te rejoignant. Un regard assez surpris, mais surtout mystérieux. Tu détestais lorsqu’il te regardait comme cela. Il te faisait perdre tout tes moyens. Tu sais bien ce que je veux dire Aiden. Notre couple, t’aimerait pas que tout s’arrête, que tu puisses enfin être libre ? il soupirait quelque peu, avant de te prendre dans ces bras. Posant ta tête sur son épaule quelques instants. Tu te sentais si bien à ces côtés. Tu étais en sécurité. Tu sais très bien que c’est impossible, on a signé un contrat. disait-il assez froidement sans pour autant te lâcher. Tu détestais quand il se montrait de la sorte. En relevant ton regard. Il avait un air que tu connaissais si bien. Le même qu’il te portait lorsque vous vous embrassiez. Tu fis un sourire, avant de l’embrasser sur la joue. Et de profiter de ce moment. Il était devenue quelqu’un d’important malgré tout ce qu’il pouvait se passer, tu ne voulais certainement pas le perdre.

FROM @AWESOMELIFECHOICES / CELEBRITE @TYLER HOECHLIN

aiden swinburne
On ne devrait jamais jouer avec les sentiments ; on y brûle sa vie, le peu de sa vie que l'on emmagasine au fond de soi.

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FROM @ILOVEJULIANMORRIS / CELEBRITE @JULIAN MORRIS

eden ginn
Plus étroits que ceux du sang et de la famille sont les liens de l'amitié.  

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